Léa

Festival de Cannes : Évoquer la magie du cinéma ancien

L’affirmation selon laquelle l’humanité a oublié le cinéma à cause des confinements peut être dissipé par une simple tentative, a déclaré le réalisateur et historien du cinéma irlandais Mark Cousins ​​​​(« The Story of Film ») mardi après-midi de la semaine dernière sur la scène de Salle Debussy au Palais des Festivals du Film de Cannes. Fermez les yeux et imaginez la jeune Shirley MacLaine dans « The Apartment » de Billy Wilder (1960), traversant la rue nocturne vers Jack Lemmon à la fin du film, le bonheur sur son visage, le vent dans ses cheveux ; Selon Cousins, quiconque connaît cette scène l’aura immédiatement en tête s’il lui suffit d’y faire allusion : Parce que le cinéma est en nous, dans nos têtes, il ne peut pas s’y effacer, car nous sommes tout son ADN.

Georg Friedrich et Franz Rogowski dans

Mal

Agenda Cannes 2021, deuxième partie : C’est la vie !

Von Stefan Grissemann

Quelques heures plus tard, lors de l’ouverture de la 74e édition du festival du film, l’idée d’une magie cinématographique incassable a été évoquée à plusieurs reprises, comme quelque chose de désespérément désiré dont on pourrait parler et ainsi préserver : l’ancienne « magie » « du cinéma » devait être défendu ici, comme s’il s’agissait d’une forteresse attaquée par l’évolution des habitudes de visionnage et de la diffusion numérique, un bâtiment historique menacé par des projets de démolition.

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