Léa

Rapport Plume

Les cigarettes électroniques sont considérées comme une alternative moins nocive aux produits du tabac conventionnels. La vapeur d’eau qu’ils produisent contient des arômes et souvent aussi de la nicotine, mais aucune substance toxique et cancérigène n’est brûlée. Cependant, la base d’études sur les effets du vapotage est relativement limitée pour le moment, et deux études appellent désormais à la prudence. Des chercheurs canadiens rapportent que sous l’influence des vapeurs contenant de la nicotine, les cellules de la muqueuse buccale sont détruites et meurent beaucoup plus rapidement. Cela affecte notre barrière la plus importante contre les influences environnementales : la membrane muqueuse, qui nous protège des infections. Indépendamment de cela, des scientifiques britanniques ont découvert que le vapotage libère des substances messagères inflammatoires et favorise les dommages à l’ADN. Bien entendu, il s’agit d’études cellulaires en laboratoire qui ne doivent pas nécessairement décrire des effets réalistes dans l’organisme vivant. Les deux équipes de recherche soulignent que les dangers possibles du vapotage doivent être étudiés de manière plus approfondie.

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